Ce petit café à la française m’a fait tilt. Je m’y suis arrêtée pendant un long moment et voici ce que j’ai inscrit, assise sur ce banc, dans mon petit carnet que j’appelle affectueusement « Brainstorming ».
Aussi contradictoirement que cela peut paraître, les réseaux sociaux laissent penser que c’est un fabuleux outil de communication : cela rapproche les gens, alors qu’à mon sens, c’est complètement faux, cela nous éloigne les uns des autres.
Ayant rattrapé ma vie c’est-à-dire me mettre en retrait, passant plutôt en coup de vent, ma messagerie était restée quasiment vide comme bien souvent (cela n’est pas grave, au contraire, juste un constat) et pour cause, soyons honnête, moi aussi je n’ai pas fait d’efforts à quelques messages près. J’étais devenue malgré moi en quelque sorte le reflet de la société actuelle, moi qui suis pourtant de nature très sociable (si si c’est vrai !)
Je pense sincèrement qu’il faut arrêter de vivre ses liens d’amitié ou relations à travers les posts impersonnels qu’on laisse derrière nous – parfois un peu partout – en tir groupé. Nous ne discutons plus, nous ne posons plus de questions ou n’apportons plus de réponses, nous ne confortons plus chez l’autre la certitude d’être apprécié, nous avons de plus en plus tendance aux « Oui, je sais, j’ai vu ton post passer », un tue l’amour au niveau relationnel; Nous ne faisons que s’exprimer à coups de likes ou employer trois mots. Nous ne prenons plus le temps de prendre conscience de nos interactions.
Cela n’est absolument pas constructif. Et bien entendu, comme toujours, cela n’engage que moi.
Je ne dénigre pas cependant les réseaux sociaux, puisque c’est un vieux constat que je n’avais pas encore mis sur papier et que je continuais à « réseauter », je dirais même pourquoi pas parce que c’est un très bon support de communication quand nous nous en servons bien. Mais aussi parce que c’est ce qu’est devenue la société, nous nous adaptons à elle, nous sommes elle, mais à notre détriment, nous oublions souvent alors de privilégier certaines personnes.
S’arrêter un instant pour laisser un petit message personnel, appeler pour demander des nouvelles, signifier/partager ses pensées, raconter avec passion ce que l’on a vécu, écrire une carte postale même si virtuelle, partager quelques photos de ses vacances, s’intéresser et écouter l’autre faire de même, sont bien plus vrais et sincères comme actes. Nous n’offrons plus notre présence et écoute, nous subissons l’autre. Et vice-versa.
Cela ne coûte rien, je te promets que cela ne te fera pas perdre du temps mais surtout cela te fera sortir gagnant : quel grand bien que ça peut faire à toi-même, et à tes proches. Un lien, ça ne laisse aucune place à un laisser-aller, ça s’entretient.
Comme on le faisait si bien au siècle dernier.
S’investir, être acteur, il n’y a rien de plus beau et agréable. La passivité virtuelle, c’est plonger son existence et celui de l’autre dans le néant.
Un petit coucou. Les petites attentions;
La bienveillance. CQFD.
Réhumanisons-nous et sortons-nous de ce spirale anti-social dans lequel nous plonge le conditionnement digital imposé par les GAFA.
Certain.e.s se reconnaîtront, j’ai toujours agi dans ce sens, celui de ma réflexion personnelle et pour rien au monde, je ne changerai, je continuerai à être ce que je suis; attentive à celleux que j’apprécie ou aime.
Peut-être parce que je suis trop une Xennial.
Texte par A.C
Pourquoi tu ne t’en vas pas ?
Pourquoi tu t’accroches autant ?
Dis moi pourquoi tu restes là ?
Je n’ai rien à t’offrir, rien à te donner, sauf si tu collectionnes les chagrins amères...
J'ai appris tes départs et tes retours...
J'ai dû apprendre à m'éloigner de toi...
Et j'y suis presque arrivé...
Mais mes pensées s'accroches à nos souvenirs...
Je t'aime mais ça tu le seras jamais...
Plume Sauvage
IL a décidé qu'elle serait nue, attachée, jambes et bras ecartés, mains et chevilles entravées par les menottes et les chaînes, offerte à ses yeux.
Autour de son petit cou, Il lui a passé et serré son large collier. Une courte laisse métallique y est accrochée et tombe sur son ventre.
La froideur du métal contre sa peau lui procure des frissons qu'elle aime ressentir, des frissons de soumission.
Il a décidé de lui bander les yeux... Ainsi exposée et préparée, Il s'assied et la contemple comme Il aime particulièrement le faire avant de jouer avec son corps.
Impatiente, elle ne peut qu'attendre qu'Il décide de commencer à l'utiliser.
Mouillée, elle ne peut qu'entendre Sa voix lui profaner ces insultes dont elle raffole et qui l'excite encore plus.
Salope, elle ne peut que se cambrer pour être plus offerte, plus ouverte pour Son plaisir...
À proximité, sur une table sont posés Ses ustensiles, inévitablement, Son choix premier se porte sur la cravache, Il la prend, la fait claquer dans le vide à plusieures reprises pour entendre ce sifflement si particulier. Le son émit résonne dans la pièce...
Elle sourit discrètement au son reconnu, elle sait ce qu'Il a choisi.
La cravache parcourt son corps, réactif au moindre effleurement du cuir, frôle lentement ses seins durcis d'excitation, claque ses fesses qu'il apprécie tant, tape entre ses jambes où elle est trempée comme à l'accoutumée, comme elle doit l'être pour Lui.. À chaque claquement, la douleur la fait gémir et tressaillir. Elle entend Sa respiration s'accélérer au fur et à mesure des coups donnés.
Les yeux fermés sous son bandeau, elle se délecte d'imaginer Son sourire à voir sa peau marquée et rougie.
Son corps est Son terrain de jeux où le cuir laisse ses empreintes. Un tableau sur lequel Il dessine ses envies.
Il alterne, au gré de Ses envies, la cravache, le chat à neufs queues, le martinet...la cravache de dressage est la plus douloureuse. Les coups portés seront comptés. IL veut entendre sa voix trembler par la douleur ressentie.
Les yeux fermés... elle se laisse bercer par ce décompte...la douleur s'estompe et devient jouissance... elle ne pense qu'au plaisir d'être là, pour Lui, pour Le satisfaire, Le servir.
Sa main caresse par moment son joli cul cambré et rougi. Ses mots d'encouragement et de réconfort lui font oublier le temps présent. Il colle son corps contre son corps afin qu'elle sente son plaisir durcir...
Elle Le remercie, d'une voix presque inaudible, tremblante, d'être attentionné à son égard.
Les coups reprennent forts, puis sont plus doux, voir caressants. Ils sont portés par saccades. Encore et encore....
Depuis combien de temps joue-t-il avec elle ? La notion du temps a disparu.
Les bruits s'estompent autour d'elle... son corps si réceptif jusqu'alors, aux coups reçus, les ressent différemment. Son corps devient lourd, sa tête vacille, ses pensées deviennent floues, es larmes coulent sous le bandeau, roulent sur ses joues. Des larmes de douleur, de plaisir, de bonheur... elle s'abandonne pleinement, totalement.
À cet instant, plus que jamais, au plus profond d'elle même, elle est Sienne.
Ceci est comme un journal, une vie virtuelle qui est apparue il y a ... plus d' un an.. Toutes mes émotions, tous mes ressentis se sont inscrits sur le clavier.. Plus vite que ma pensée, les mots se sont couchés... Pour Toi... juste pour Toi.. Toi que j'aime par-dessus tout, Toi qui hante mes jours et mes nuits...
Il faut que j'évacue tous les jours, ou presque, ce ressenti, ce manque de Toi . Lorsque tu es là... la vie est merveilleuse, la vie file vite, elle est gaie, simple, facile..
Parfois mes mots sont à la première personne, parfois à la troisième... Parfois je suis perdue dans mes pensées qui volent vers Toi, parfois je pleure de tristesse ou de Bonheur... Ma vie dépend de Toi, juste de Toi...
J'ai essayé de tout relier... Pas simple de relier une vie dont l'homme est absent bien trop souvent... Pas simple du tout... Quand tu es parti la première fois... tu sais que c'était un innommable quiproquo.. de ma faute, de ta faute. F. est apparu dans ma vie, il m'a soutenue et petit à petit je me suis attachée à Lui comme une bouée... J'ai vécu de beaux moments mais aussi des terribles... Je pensais à toi et toujours à toi... il le savait et parfois nous nous disputions … toujours à cause de toi, toujours car il était d'une grande jalousie.. Avec lui, j'ai commencé à mettre noir sur blanc ce que je ressentais...parfois il pensait que je t'écrivais à toi et non à lui... et j'avoue que souvent il avait raison... Je vivais pour toi à travers lui... et puis... et puis … tu es revenu ce jour d'octobre 2015 et le monde, mon monde a basculé... tu étais revenu... Je ne sais ce que l'avenir me réserve mais une chose est certaine, tu as marqué ma vie à jamais... parce que je t'aime plus que tout... envers et contre tout.. Je mets en pages ces lignes pour évacuer et revivre… le pourrai-je ?? Telle est la question.....
Je me suis souvenue... de ce jour où …. Ton cœur est venu frapper à la porte du mien. Je l'ai laissé entrer, il avait été poli. Depuis, il est là, chez moi, il y est bien. Il y a pris ses quartiers, s'est installé. Ne sois pas inquiet, j'en prends grand soin. Je l'aime ton cœur, il prend soin du mien. Je le garde précieusement avec le mien, ton Cœur que je ne veux pas te rendre et qui me donne tant d'espoir.....
Mais aujourd'hui j'ai mal. J'ai mal parce que les mots s'embrouillent et ne veulent pas se placer comme je le veux. J'aimerais tellement pouvoir te dire et je ne le peux pas. J'ai tellement mal de ne pouvoir le faire. J'aimerais tant !! Aujourd'hui n'est que la suite d' hier.. . Ce mot que j'ai dans un coin de ma tête et qui ne veut pas sortir...ce mot qui te définirait si bien...il est au plus profond de moi et veut rester ancré là, dans mon âme. Il ne veut pas que tu le saches.
Retour au menu Cliquez ici. . Quitter le site ici